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De l’Évangile selon Luc 6.35 : « Mais aimez vos ennemis, faites du bien, et prêtez sans rien espérer. Et votre récompense sera grande, et vous serez fils du Très Haut, car il est bon pour les ingrats et pour les méchants. »
La compassion, la bienveillance, la gentillesse… autant de qualités de l’âme remplie de l’énergie pure de l’amour !
Peut-on être gentil(le) quand notre esprit est pris dans les méandres des énergies denses ? Comment peut-on être pris de compassion pour quelqu’un (qui vous a peut-être fait du mal par le passé ou qui ne vous aime pas) quand notre niveau de conscience n’est pas élevé ?
La gentillesse est l’un des fruits dorés que nous sommes venus cueillir sur Terre. Nos expériences doivent nous aider à nous élever au-dessus des circonstances et des situations de ce monde, afin de découvrir la grandeur d’âme qui en découle. Être gentil(e), n’est-ce pas accepter les situations sans juger ? N’est-ce aller au-delà des formes physiques pour mettre en place le véritable paradigme spirituel dont parle Christ à travers ce passage : « Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent » (Matthieu 5.44)
Voilà le travail. Voilà le chemin que nous devons suivre pour retrouver les traces de celui qui, le premier, a manifesté de la compassion à plusieurs reprises afin que nous puissions mettre nos pas dans ses pas (Matthieu 14.14; 20.34; Marc 8.2-3; Luc 7.13)
Dans le silence de ton coeur, écoute ce message de lumière du Christ….
Bonne méditation.